Je vous partage ici un texte que j’ai écrit l’année dernière. Il a circulé sur FB, mais tout le monde n’ayant pas de compte sur ce réseau social, j’ai décidé de l’ajouter à ce blog.
Il a été rédigé dans un contexte particulier. Françoise Paquot, une « amie » sur FB, était à la recherche de sponsors pour un concours pour lequel elle avait été sélectionnée. Elle souhaitait à travers celui ci, réaliser le rêve de sa petite fille intérieure qui était de défiler et de prouver qu’on pouvait tous réaliser nos rêves. C’était un concours un peu « à part » car ouvert à chaque femme, quel que soit son poids, sa taille, son âge,… Un concours permettant de révéler leur beauté unique et leur lumière.
A chaque fois que son post défilait devant mes yeux, une petite voix me disait : « Soutiens-la « .
J’avoue que cette petite voix a du répéter son message plusieurs fois. En effet, Françoise et moi ne nous étions croisée qu’une fois, nous nous connaissions à peine. Ma raison ne voyait pas du tout l’intérêt d’une telle démarche. La petite voix se faisant insistante, je décidai de suivre son conseil et je contactai Françoise pour les modalités. Le lendemain, j’étais en voiture après avoir conduit ma fille à l’école quand j’eus l’envie de lui écrire le texte ci-dessous.
Et ensuite ?
Sachez d’abord, que Françoise a été jusqu’en finale 🙂 . De ce que j’ai compris, cette expérience l’a transformée, elle s’est révélée à elle-même et a repris confiance en elle. Elle a récemment lancé son activité de bien-être.
Et pour ma part, qu’ai-je gagné ?
Cela peut paraître anodin, mais avec le recul, ce texte m’a permis de guérir certaines parties de mon Être qui n’étaient pas en paix, qui étaient encore fragiles et en colère.
J’y ai gagné une guérison à laquelle je ne m’attendais pas et j’ai appris que les trésors se cachent vraiment partout (même sur FB 😉 ). Ecrire ce texte m’a donné une confiance plus profonde en Moi et en ma petite Voix. Et ça, ça n’a pas de prix…
Peu importe qu’on ne voit pas où cela va nous mener,
lâcher sa raison, ses certitudes, ses peurs, nous entraîne bien plus loin
que ce qu’on aurait pu imaginer et espérer.